lundi 25 janvier 2010

Etat amoureux et autres désastres...

C'est fou comme les relations amoureuses peuvent nous bouleverser, nous les femmes. Comment on peut se prendre la tête, se monter le bourichon et se faire des films pour un homme. Alors qu'un homme n'est rien de plus, comme nous, qu'un être de chair et de sang. Il rote et il fait caca.
Alors pourquoi autant les mystifier?
En fait vous voulez savoir le problème?
Ce n'est pas compliquer.
Mais chut c'est un secret...
On croit encore au prince charmant!
ET OUI!!
Nous sommes formatées par les contes, les films, les chansons... L'homme y est sacraliser comme un être parfait qui va nous permettre de nous épanouïr, d'être heureuse. Alors oui une bonne histoire amoureuse va nous rendre heureuse mais elle ne devrait pas en être la seule raison... On devrait être épanouïes par notre travail et notre vie personnelle. Pas uniquement par l'homme que l'on aime. Et ce n'est pas tout, les femmes y sont trop idéaliser, on complexe trop face à ces femmes belles, grandes, et minces, fortes et suffisemment faible à la fois...Nous ne serons jamais en t-shirt sur la banquise comme Lara Croft, nous n'aurons jamais de coup de foudre à Notthing Hill et nous ne croiserons ni ne décroiserons les jambes comme Sharon Stone!
Pour être heureuse sortons de notre tête que l'idéal amoureux c'est une femme superbe et un homme bête de sexe et sensible... Parce que non... c'est pas ça.
La grande et belle histoire d'amour, on ne la vivra peut être jamais... Il faut que ce soit dit. Et c'est pas en la recherchant coûte que coûte qu'on la trouvera au contraire.
(à suivre...)

mardi 29 septembre 2009

Image de Geek

Trop de boulot à l'école, trop de boulot au boulot, trop de boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot boulot...


Pas le temps d''écrire quelque chose de viable



vendredi 24 juillet 2009

lundi 20 juillet 2009

Ou savoir la valeur de son sac...



Etre étudiant et avoir un boulot à coté pour pouvoir payer son école, c'est assez éprouvant. On est fatigué, et il suffit de travailler dans la restauration pour avoir un rythme en total décalage avec un rythme scolaire habituel. Mais on est quand même assez fier de soi quand au final on peut prétendre avoir financé soi-même ses études avec la sueur de son front.
Jeudi soir je suis rentrée chez moi après avoir finit de travailler à 23h30; j'étais donc devant mon immeuble à minuit. Là un vélocipède qui m'avait déjà bousculée quelque minutes auparavant pour me doubler sur le trottoir m'a coincée contre le mur rose de mon cher immeuble et m'a demandé cash :
"_ A combien t'estimes ton sac?"
Je n'ai pas très bien compris sur le coup ayant mes écouteurs sur les oreilles. Je lui ai donc dit que je n'avais pas entendu. Maintenant je trouve ça très drôle d'avoir du demander à un voleur de se répéter.
"_ A mes affaires de boulot. tu veux quoi me voler?"
"_Ouais, on va commencer par ça, a-t'il dit en pointant mes écouteurs."
"_Mais qu'est ce que tu crois, que je vais te donner mes affaires, mon lecteur MP3 merdique et les quelques pièces que j'ai sur moi. Je rentres du boulot, je viens d'enchaîner 6 heures d'affiler, je suis crevée. Et toi ça te fais rien de voler des gens qui ont rien et qui rentrent de leur boulot les chaussures à la main?"
A oui j'avais oublié de préciser que j'avais enlever mes chaussures parce que j'avais extrêmement mal au pieds, nouvelles paires, et qu'il avait plut environ une heure auparavant. J'avais donc les pieds trempés et des chaussettes habituellement blanches, marrons.
"_Allez vas-y donne"
"_Donne?! Tu veux que je te donnes? Mais de quel droit? Je te dois quelque chose. Tu n'as pas honte d'attaquer les gens de nuit dans une rue ou il n'y a personne, qui plus est une fille alors que tu es un homme? Franchement regarde mon porte feuille -je lui montre que je n'ai pas de billet et quee je dois avoir 3 euros en pièces- C'est ça ton butin, tu devrais aller travailler, parce que le SMIC c'est plus que 3 euros crois-moi. A ta place j'irais m'acheter un début de sens de l'honneur avec ça, c'est bien trop facile d'emmerder les gens qui eux ont le courage de bosser alors que toi t'es même pas capable de lever le cul de ton vélo quand tu me rackettes. C'est trop facile, j'aurais trop honte à ta place..."

Je ne sais si c'est le fait de n'avoir que 3 euros sur moi, le fait qu'il 'est pas vu que mon lecteur MP3 merdique était un Ipod ou le fait que je lui ai foutu la honte de sa vie, mais il est parti en disant " C'est bon ça va" sans rien me prendre.

mardi 14 juillet 2009

Comme toute l'existence est calme, est douce.

Certaines lectures nous donnent à penser. Elles nous poussent à réfléchir, sur notre condition, sur nos aspirations passées, présentes et futures. Sur qui nous sommes, et sur ce que nous sommes. Ce que nous avions toujours voulut devenir enfant, sur que nous sommes aujourd'hui, et sur la déception ou le ravissement de notre reflet dans le miroir aujourd'hui.
Comme pour beaucoup d'enfants, mes rêves de devenir étaient ambitieux. Je voulais être paléontologue, archéologue, égyptologue...Beaucoup de métiers en "ogue" au bout du compte. Les Mystères de l'Histoire me fascinaient, ils m'attiraient comme on attire un ours bourru et affamé avec du miel. Rien ne me m'obsédait plus que le futur métier qui allait faire de moi une femme adulte. Chaque année je comptais celles qu'il me restait à vivre en tant qu'enfant mineure. Je voyais mon futur rempli et utile. Je me voyais militante de Greepeace le bras levé tenant le harpon qui menacerait les braconneurs de baleines, aventurière à l'image de Sydney Fox pour sauver du recel des œuvres d'art qui nous appartiennent à tous. Je me voyais héroïne modeste se battant juste pour ce qu'elle croirait juste et vivrait une vie comme peu le font. Une vie sans chemin tout tracé, sans mari, sans enfants, sans métiers lucratif, avec seulement mes rêves accomplies et une sensation d'avoir fait ce qu'il fallait, quitte à dormir sur un tas de livre dans la cave humide d'un vieux bateaux de pêche reconverti.
Aujourd'hui je regarde mes aspirations présentes. Reconquérir mon amour ibérique perdu. Partir faire une année d'études à l'étranger et vivre le plus possible avant de m'enfermer dans ma vie d'adulte. Changement fou par rapport à ce que je désirais plus plus jeune.
Aujourd'hui je regarde mes aspirations futures. Trouver un boulot dans la branche que mon "BTS" me montre du doig. Me trouver une bonne planque pour vivre une vie semblable à celle de milliards d'autres. Avec mari et enfants, boulot lucratif et loisirs mornes.

Mais SURTOUT aujourd'hui je regarde mes aspirations, et je ne veux pas devenir cette femme que je suis en train de devenir. Je ne juge pas la vie bien tranquilles de centaines de millions d'autres, mais ce n'est pas celle-là que je veux vivre.
Je veux vivre avec mon grand V, je veux pouvoir partir sans peur de l'inconnu, partir avec seulement un sac sur mon dos et un billet(de train? d'avion? de bus?), je veux voir les eaux bleus transparentes, je veux filmer les jaguar, je veux nager avec un grand blanc, je veux escalader des montagnes, je veux VIVRE MES REVES et ne plus REVER DE VIVRE DES VIES!

samedi 20 septembre 2008

Para sonreir




Ah ah...
Hum bon c'est un peu la shuma que d'aimer Harry Potter a 19 ans oui je sais, mais c'est vraiment trop génial.
Je veux cette jupe...mais ils ne la vendent plus :'(

















Sinon à part ça ma rentrée s'est plutôt bien passée, je suis vraiment contente parce que les gens de ma classe on l'air vraiment tous sympathique et que j'ai dérogé à l'habituelle gamelle que je me prenais le premier jour de classe alors vraiment je suis contente^^
Je me suis également acheté, en guise de cadeau de rentrée à moi-même une robe Yumi, 88 euros dans les dents! Mais bon elle est vraiment très belle, et j'assume de m'acheter de jolie fringues de temps en temps.